Le capitaine Fracasse

Auteur(s)
Genre : Livre Jeunesse

Référence : 1903
Editeur ouvrage
CreateSpace Independent Publishing Platform

Date de parution : 2017

Nombre de page : 468 page(s)
Large vision : Non
ISBN : 978-1548411251
Support : Mp3
Synopsis de l'ouvrage

Présentation de l'éditeur
Le Capitaine Fracasse est un roman de cape et d’épée. Il raconte l’histoire d’un jeune noble désargenté, le baron de Sigognac, qui décide de suivre une troupe de théâtre sur les routes. Cette décision est due à l’amour (partagé) qu’il ressent pour Isabelle, l’une des comédiennes. Malgré son haut rang, il devient à son tour comédien. Mais son attachement pour Isabelle est compromis par les ardeurs d’un autre soupirant, le duc de Vallombreuse. Sigognac devra donc faire preuve de courage, d’obstination et d’un grand esprit chevaleresque pour sauver son amour.

Biographie de l'auteur
Théophile Gautier, né à Tarbes le 30 août 1811[1] et mort à Neuilly-sur-Seine le 23 octobre 1872, est un poète, romancier et critique d'art français. Né à Tarbes, Théophile Gautier est cependant parisien dès sa première enfance. Il fait la connaissance du futur Nerval au Collège Charlemagne et s'intéresse très jeune à la poésie. En 1829 il rencontre Victor Hugo qu'il reconnaît pour son maître et participe activement au mouvement romantique comme lors de la fameuse bataille d'Hernani, le 25 février 1830. Il évoquera avec humour cette période en 1833 dans Les Jeunes-France. Il publie en 1831-1832 ses premières poésies qui passent inaperçues mais il se distingue de ses amis romantiques par ses préoccupations formalistes fustigeant les visions moralistes ou utilitaires de la littérature dans la célèbre préface à son roman épistolaire Mademoiselle de Maupin (1835). Il écrit aussi ses premières nouvelles comme La Cafetière (1831), dans une veine fantastique qu'il approfondira dans d'autres œuvres (Le Roman de la momie, 1858). En 1836, à la demande de Balzac, il donne des nouvelles et des critiques d'art au journal La Chronique de Paris. Il collabore ensuite intensément à d'autres journaux, en particulier La Presse d'Émile de Girardin : certains de ces textes seront regroupés plus tard en volumes (Les Grotesques, Souvenirs littéraires…). Il publie aussi des poèmes (La Comédie de la Mort, 1838) et s'essaie au théâtre (Une larme du diable, 1839). En mai 1845, il accomplit un grand voyage au-delà des Pyrénées dont il rapporte un carnet d'impressions (Voyage en Espagne) et de nouveaux poèmes (España, 1845). D'autres voyages en Algérie, en Italie, en Grèce, en Égypte, nourriront aussi diverses publications. En 1852, paraît Émaux et Camées, recueil de vers qu'il enrichit jusqu'en 1872 et qui fait de son auteur un chef d'école : Baudelaire dédie Les Fleurs du mal au « poète impeccable » et Théodore de Banville salue le défenseur de « l'art pour l'art », précurseur des Parnassiens à la recherche du beau contre les épanchements lyriques des romantiques et valorisant le travail de la forme (« Sculpte, lime, cisèle » écrit Gautier dans son poème L’Art, dernière pièce de Émaux et Camées, édition de 1872). --Ce texte fait référence à l'édition Broché.


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